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40 La retraite anticipée pour invalidité ou inaptitude au travail
40 Avant la retraite si invalidité ou inaptitude au travail
9 novembre 2017, 21:57, par GRANDVAL
Bonjour,
Voila mon mari était dans la fonction publique hospitalière, après le décès de deux de ces collègues en très peu de temps, il a fait une dépression avec alcoolisation +++ il a été hospitalisé en hôpital psychiatrique pendant plusieurs mois.
Il a été mis en longue maladie pendant 2 ans puis en demi traitement et enfin en retraite pour invalidité à 66% en 2014.
Actuellement il est sevré mais avec de sévères troubles paranoïa , troubles cognitifs, baisses de tonus il peut resté couché pendant 18 à 20 h. Il n’a plus de souvenir immédiats mais se souvient des événements morbides, traîne les pieds a du mal a se mouvoir, il faut toujours être a côté pour lui dire de se laver, de manger, de s’habiller il n’a plus de notions d’argent, ni de responsabilité. (il a été examiné par plusieurs psychiatre qui confirme mes dires).
Un jour peut être bien et le lendemain complètement catastrophique.
La CNRACL a refusée ma demande de tierce personne, et nous ne savions pas que sa dépression pouvait être imputé a son travail ou tout du moins aux événements vécu en lien avec son lieu de travail.
Pensez vous que nous pouvons ré-ouvrir son dossier pour une nouvelle étude.
Vous remerciant de me répondre, veuillez agréer, mes sincères salutations.
G. Grandval
Bonjour,
Voila mon mari était dans la fonction publique hospitalière, après le décès de deux de ces collègues en très peu de temps, il a fait une dépression avec alcoolisation +++ il a été hospitalisé en hôpital psychiatrique pendant plusieurs mois.
Il a été mis en longue maladie pendant 2 ans puis en demi traitement et enfin en retraite pour invalidité à 66% en 2014.
Actuellement il est sevré mais avec de sévères troubles paranoïa , troubles cognitifs, baisses de tonus il peut resté couché pendant 18 à 20 h. Il n’a plus de souvenir immédiats mais se souvient des événements morbides, traîne les pieds a du mal a se mouvoir, il faut toujours être a côté pour lui dire de se laver, de manger, de s’habiller il n’a plus de notions d’argent, ni de responsabilité. (il a été examiné par plusieurs psychiatre qui confirme mes dires).
Un jour peut être bien et le lendemain complètement catastrophique.
La CNRACL a refusée ma demande de tierce personne, et nous ne savions pas que sa dépression pouvait être imputé a son travail ou tout du moins aux événements vécu en lien avec son lieu de travail.
Pensez vous que nous pouvons ré-ouvrir son dossier pour une nouvelle étude.
Vous remerciant de me répondre, veuillez agréer, mes sincères salutations.
G. Grandval