Vous êtes ici : Accueil
/ 40 La retraite anticipée pour invalidité ou inaptitude au travail
Répondre au message
40 La retraite anticipée pour invalidité ou inaptitude au travail
40 La retraite si invalidité ou inaptitude au travail
2 décembre 2019, 11:54, par Jeo
Bonjour
Merci pour votre réponse.
Ma compagne a déjà subi plusieurs expertises ce qui a conduit à une mise en disponibilité d’office pour raison de santé. Mais lors de la dernière expertise, la prolongation de la mise en dispo a été refusée. On a fait un recours sur le conseil du médecin du travail et de l’assistante sociale afin d’éviter un abandon de poste conduisant au licenciement. Celui ci a aboutit à une nouvelle prolongation de 3 mois pour inaptitude définitive à toute fonction mais assortie d’une nouvelle expertise à passer.
Ma compagne n’en peut plus de ces expertises, car les questions des experts la replonge sans arrêt sur des sujets qu’elle souhaiterait oublier et qui sont à l’origine de sa dépression. Pour ces mêmes raisons, elle a arrêter d’aller voir un psy. Du coup comme elle n’a plus de suivi par un psy, les experts considèrent qu’elle n’est pas si atteinte que cela et qu’elle peut reprendre le travail. C’est pour cela que je disais que le risque de rejet de l’invalidité existe non seulement de la part CNACRL, mais surtout de la part du régime général. Or la part CNACRL ne représente qu’un tiers de la retraite qu’elle percevra.
Bonjour
Merci pour votre réponse.
Ma compagne a déjà subi plusieurs expertises ce qui a conduit à une mise en disponibilité d’office pour raison de santé. Mais lors de la dernière expertise, la prolongation de la mise en dispo a été refusée. On a fait un recours sur le conseil du médecin du travail et de l’assistante sociale afin d’éviter un abandon de poste conduisant au licenciement. Celui ci a aboutit à une nouvelle prolongation de 3 mois pour inaptitude définitive à toute fonction mais assortie d’une nouvelle expertise à passer.
Ma compagne n’en peut plus de ces expertises, car les questions des experts la replonge sans arrêt sur des sujets qu’elle souhaiterait oublier et qui sont à l’origine de sa dépression. Pour ces mêmes raisons, elle a arrêter d’aller voir un psy. Du coup comme elle n’a plus de suivi par un psy, les experts considèrent qu’elle n’est pas si atteinte que cela et qu’elle peut reprendre le travail. C’est pour cela que je disais que le risque de rejet de l’invalidité existe non seulement de la part CNACRL, mais surtout de la part du régime général. Or la part CNACRL ne représente qu’un tiers de la retraite qu’elle percevra.