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59 Les droits à la retraite acquis hors de l’espace européen
10 juin 2022, 11:45, par MY
Je suis à la retraite depuis août 2019. Je perçois une pension de fonctionnaire et une retraite du régime général. J’ai travaillé pendant quelques années en Algérie. Certains trimestres de mes activités en Algérie ont bien été pris en compte mais il en manque beaucoup. La CNAV- Conventions internationales a contacté les services de retraite de l’Algérie sans que cela n’aboutisse. Je m’occupe donc moi-même de régler ce problème grâce à l’aide d’une amie qui réside sur place. Je commence à avoir des informations, du courrier de leur part mais les premiers calculs sont erronés, par oubli de certaines années de travail et de mes études en tant qu’élève-professeur - donc salariée - à l’ENS de l’Algérie.
Ma question est la suivante : étant donné que même si je suis la retraite depuis bientôt trois ans, le retard pour régler tout cela - et ça risque de durer encore - et qui n’est pas de mon fait mais celui de lenteurs administratives, peut-il me porter préjudice ? Vaut-il alors la peine que je persévère dans cette quête bien longue et lassante ? Il faut savoir que je bénéficie déjà d’une surcote et qu’il manque encore dans mon relevé de carrière une vingtaine de trimestres algériens. Et à ce propos, y a-t-il un nombre limite de trimestres de surcote dont on peut bénéficier ?
Je vous remercie de votre disponibilité et de vos précieux conseils.
Je suis à la retraite depuis août 2019. Je perçois une pension de fonctionnaire et une retraite du régime général. J’ai travaillé pendant quelques années en Algérie. Certains trimestres de mes activités en Algérie ont bien été pris en compte mais il en manque beaucoup. La CNAV- Conventions internationales a contacté les services de retraite de l’Algérie sans que cela n’aboutisse. Je m’occupe donc moi-même de régler ce problème grâce à l’aide d’une amie qui réside sur place. Je commence à avoir des informations, du courrier de leur part mais les premiers calculs sont erronés, par oubli de certaines années de travail et de mes études en tant qu’élève-professeur - donc salariée - à l’ENS de l’Algérie.
Ma question est la suivante : étant donné que même si je suis la retraite depuis bientôt trois ans, le retard pour régler tout cela - et ça risque de durer encore - et qui n’est pas de mon fait mais celui de lenteurs administratives, peut-il me porter préjudice ? Vaut-il alors la peine que je persévère dans cette quête bien longue et lassante ? Il faut savoir que je bénéficie déjà d’une surcote et qu’il manque encore dans mon relevé de carrière une vingtaine de trimestres algériens. Et à ce propos, y a-t-il un nombre limite de trimestres de surcote dont on peut bénéficier ?
Je vous remercie de votre disponibilité et de vos précieux conseils.