J’ai demandé des explications à l’Agirc-Arrco.
La DGFIP (direction générale des finances publiques) envoie la liasse courant janvier à la CNAV (assurance retraite). Celle ci détermine qui est concerné et payant à terme échu, elle répercute le nouveau taux de CSG début février. Vient ensuite l’Agirc-Arrco qui récupère le fichier passé par la CNAV et détermine les bons taux de CSG avec les bonnes personnes. Il reste un stock d’un million de personnes qui sont MSA et pas CNAV qu’il faut repérer et traiter de manière différenciée. Tout cela les amène à intervenir courant février pour être prêts pour le paiement de mars terme à échoir avec une régularisation sur janvier et février.
Quand le taux de CSG est à la hausse, on supporte, mais quand il est à la baisse, on trouve les délais trop longs.