UNION CONFÉDÉRALE CFDT DES RETRAITÉS

Nos sites locaux


CFDT Retraités Hérault

Bienvenue sur le site de l’Union territoriale CFDT retraités de l’Hérault

Nos coordonnées

CFDT Retraités Hérault (UTR)
Maison des syndicats
474 allée Henri II de Montmorency
34000 Montpellier
04 67 64 64 86

Manifestation à Montpellier le 23 mars 2023

Les retraités toujours présent dans les manifestations contre la réforme des retraites.

Manifestation du 11 mars 2023 à Béziers

Manifestation du 7 mars 2023 à Montpellier

Les retraités bien présents dans le cortège.

Les retraités CFDT dans l’action.

les retraités de l’UTR 34 ont participé aux différentes manifestations contre le report de l’âge légal de départ à la retraite.

INVITATION A l’ensemble des acteurs de la DEMOCRATIE SANITAIRE en Occitanie

Bonjour,
Didier Jaffre, Directeur général de l’Agence régionale de santé Occitanie, vous invite à relayer largement l’appel lancé à tous les habitants de la région Occitanie à prendre la parole sur leur santé, dans le cadre d’une première consultation citoyenne ouverte à tous jusqu’au 31 mars 2023, sur le site :
jeparticipe.occitanie.ars.sante.fr
pour voir le document de l’ARS cliquez ci-dessous

Déclaration du bureau de la CFDT Retraités

64 ans c’est NON !

Le bureau de la CFDT Retraités, réuni les 10 et 11 janvier, a pris connaissance de la déclaration de la Première ministre sur le projet de réforme des retraites.

Il affirme sa solidarité avec l’ensemble des travailleurs et son opposition au report de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans avec l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisation.

« Cette réforme va frapper de plein fouet l’ensemble des travailleurs et travailleuses, et plus particulièrement celles et ceux qui ont commencé à travailler tôt, les plus précaires, dont l’espérance de vie est inférieure au reste de la population, et celles et ceux dont la pénibilité des métiers n’est pas reconnue. Elle va aggraver la précarité de celles et ceux n’étant déjà plus en emploi avant leur retraite, et renforcer les inégalités femmes-hommes » (déclaration intersyndicale du 10 janvier).

Le bureau de la CFDT Retraités appelle ses adhérents et ses adhérentes à rejoindre les manifestations organisées en intersyndicale le 19 janvier sur l’ensemble du territoire et à signer la pétition intersyndicale « Réforme des retraites : Mobilisons-nous ! ».

https://www.change.org/p/retraites-non-%C3%A0-cette-r%C3%A9forme-injuste-et-brutale

Pétition · Retraites : non à cette réforme injuste et brutale ! · Change.org
www.change.org
Retraites : non à cette réforme injuste et brutale !

4ème CONGRES DE L’UTR HERAULT

Le 4ème Congrès de l’UTR 34 s’est tenu le 22 Novembre 2022 à Pérols, dans la banlieue montpelliéraine, en présence d’une cinquantaine de délégués représentant les ULR et SSR du territoire héraultais.
Les modifications statutaires exposées par Pierre Canal et le rapport d’activité présenté par Dominique Bernabé sont tout d’abord adoptés à l’unanimité avant que le Congrès cède la parole en fin de matinée aux différents intervenants, Jacques Artières pour l’Asseco, Robin Michaud Pigasse pour l’URI et Jacques Maurs pour L’URR.
Au retour d’une pause déjeuner hautement appréciée, les congressistes ont à nouveau adopté à l’unanimité le rapport financier après avoir écouté le rapporteur de la Commission Financière Jacky Bessières ainsi que les réponses claires apportées par le Trésorier aux diverses demandes d’explications.
Ce fut ensuite un grand moment de débats autour de la résolution d’orientation présentée par Pierre Glameau et adoptée elle aussi à l’unanimité. Cette résolution permet de définir les axes de travail prioritaires du syndicat pour les quatre années à venir : la vigilance sur les problèmes de pouvoir d’achat des retraités et sur les futurs projets de réforme des retraites, la lutte pour la résorption des déserts médicaux, le soutien actif aux travaux des réseaux locaux de "Ville Amie des Ainés" et du "Pacte de Vouloir de Vivre" ainsi qu’aux actions de l’Asseco, le développement en utilisant par exemple comme levier la promotion de notre complémentaire santé et enfin la création d’un groupe de travail "Climat-Ecologie-Devenir des zones littorales". Un accent tout particulier a été mis sur l’urgente nécessité de continuer à nous mobiliser sur la thématique du logement et une motion d’actualité adoptée à l’unanimité a décidé de la mise en place et de l’organisation au sein de l’UTR d’un grand débat au cours de ce mandat sur les questions relatives aux fins de vie.
Pour terminer, les congressistes ont procédé à l’élection des 23 membres du Conseil Syndical qui ont ensuite désigné les 7 membres de son Bureau : P Glameau (Sec Gen), V Chateau (SGA), JM Chassagne (Tres), M Florès (Tres Adj), S Gabaude, R Sirvent et P Canal.
Ce 4ème Congrès du syndicat UTR 34 a été un temps fort d’échanges et d’écoute où les participants ont pris un réel plaisir à se retrouver et à prouver que des termes comme "retraite" et "dynamisme" n’étaient pas du tout antinomiques .

AG ULR CFDT de Montpellier 13 septembre 2022

Ordre du jour :
- Reprise de contacts
- Préparation du Congrès UTR CFDT 34 (18 octobre 22 / Pérols)
- Rapport d’activité 2017 – 2022 : interventions, votes
- Rapport financier 2017 – 2022 : interventions , votes
- Statuts de l’UTR : interventions, votes
- Projet Résolution 2022 – 2026 : interventions, amendements, votes
- Candidatures au Conseil UTR, à la commission de contrôle financier
- Questions diverses

Après un tour de table où beaucoup aiment à dire dans quelle branche ou métier ils étaient, ce qui prouve que le boulot est, (était ?) un facteur d’identité, et où les plus âgés d’entre nous indiquent qu’il est compliqué parfois, l’âge faisant, de ne plus militer autant, Eliane (notre Eliane) conclut ce tour en affirmant « qu’on a toujours quelque chose à faire à l’endroit où on se trouve ».

Démarre alors la préparation du prochain Congrès UTR.
Dominique présente rapidement le rapport d’activité.
Peu d’échanges.
Ceux ci concernent surtout la question du « développement » du nombre d’adhérents et en particulier le problème des -transferts- entre les syndicats de salariés et les UTR.
Le rapport d’activité est adopté à l’unanimité.

Dominique présente le projet de Résolution.
A nouveau la question du développement du nombre d’adhérents est débattue. Sont avancées les nécessités de davantage de proximité, de savoir faire-savoir ce que nous faisons, autour de nous, dans nos cercles d’amis, de famille, ou plus publiquement (appels et présences à des manifestations, voire même en intersyndicale), par notre site internet à tenir à jour, par des campagnes sur nos services (Asseco, Mgen Solutions, réponses à la carte).
D’aucuns pensent que l’on parle développement depuis des lustres et que rien ne bouge. Jacques nous rappelle que la CFDT a fait acte de transparence et qu’elle est quand même devenue la 1ere organisation syndicale et que vraisemblablement les effectifs des autres régressent.
Pour Dominique nous sommes au début d’une nouvelle période où les vieux vont plus fortement vouloir prendre leur destinée, leur devenir en main. Beaucoup ont été marqués par 68 et ne veulent pas qu’on les infantilise sous prétexte qu’ils vieillissent. Sans doute est ce le moment pour qu’enfin on entende le scandale des Ehpad (alors qu’il est connu depuis des années). Et les questions de la dignité, de la fin de vie vont arriver dans le débat public. C’est donc forcément une bonne période pour la CFDT Retraités.

Le projet de Résolution est adopté à l’unanimité.

Retraites : la CFDT refuse un nouvel allongement de la durée de cotisation

À Lyon, les syndicats CFDT réunis en congrès ont délivré un message fort au nouvel exécutif : hors de question d’accepter une réforme qui augmenterait l’âge de départ ou la durée de cotisation.
Quatre nouveaux retraités sur dix ne sont plus en emploi l’année précédant leur départ à la retraite…
« Ça suffit ! » Le message délivré à propos des retraites par les syndicats de la CFDT lors du congrès confédéral de Lyon (du 13 au 17 juin dernier) a le mérite de la clarté. Lors des débats qui ont permis de finaliser la résolution générale (elle dresse la feuille de route des quatre années à venir), les syndicats ont voté à 67,5 % un amendement qui indique que la CFDT ne fait plus le lien entre durée de cotisation et gain d’espérance de vie. Pour le dire autrement, les syndicats ont estimé qu’il n’est plus question d’augmenter la durée de cotisation en cas de gain d’espérance de vie.
Même si ce vote ne change pas concrètement la position de la CFDT dans la période (il n’était de toute façon pas question d’accepter une hausse de la durée de cotisation à court ou moyen terme), il témoigne de l’extrême sensibilité des syndicats sur le sujet des retraites. À travers ce vote, il y a eu manifestement le souhait d’envoyer un message fort au président de la République, qui a fait du recul de l’âge légal de départ à la retraite un des marqueurs de sa campagne électorale. « Je reviens du congrès avec un mandat ferme, résume Laurent Berger. Il n’est pas question de toucher à l’âge légal ni à la durée de cotisation. Le gouvernement le savait, mais il en a une nouvelle confirmation. S’il s’aventure à jouer sur ces deux paramètres, il aura la CFDT contre lui. »
L’urgence n’est pas là
Depuis des mois, la CFDT le dit et le répète, il n’y a pas d’urgence en matière de retraites. Il est vrai que certains régimes ont des besoins de financement mais ceux-ci ne sont pas d’une ampleur qui justifierait un passage de l’âge minimal de départ de 62 à 65 ans. D’ailleurs, cette mesure est particulièrement injuste puisqu’elle ne touche que les personnes ayant commencé à travailler jeune et suffisamment cotisé pour pouvoir bénéficier d’une retraite à taux plein dès 62 ans. « On peut très bien se mettre autour d’une table afin d’examiner les mesures à prendre, mais il faut pour cela que le gouvernement cesse de mettre en avant les 65 ans, ce qui n’est qu’un slogan, un marqueur politique peu efficace. Je dirais même contre-productif tant la mesure fait l’unanimité contre elle », analyse Frédéric Sève, secrétaire national chargé du dossier des retraites.
La question du besoin de financement des régimes est d’autant plus ambiguë que le président de la République semble avoir une vision très large du dossier. Il laisse entendre que le passage à 65 ans permettrait de dégager des marges de manœuvre financières pour d’autres politiques publiques, notamment la perte d’autonomie. Or la CFDT ne partage pas cette approche. « Oui, il y a nécessité de trouver de nouveaux financements pour l’éducation, la santé ou la dépendance, mais cet effort doit être juste et partagé par tous les citoyens, donc par l’impôt », insiste Frédéric Sève. Lors du congrès de Lyon, les syndicats ont d’ailleurs réaffirmé qu’ils souhaitaient la mise en place d’un prélèvement de 1 % dès le premier euro sur l’ensemble des successions et donations en vue de financer la prise en charge de la perte d’autonome. Un exemple de propositions parmi d’autres que la CFDT suggère à l’exécutif.
S’attaquer aux injustices
En matière de retraite, la CFDT compte aussi avancer, durant le nouveau quinquennat, sur des sujets majeurs comme la pénibilité, le minimum de pension, l’emploi des seniors ou encore la retraite progressive. « La retraite, ce n’est pas qu’une question d’âge, poursuit Frédéric Sève. Il existe des injustices dans le système actuel, et il serait temps de s’y attaquer. L’échec de la dernière réforme des retraites a mis à mal l’idée d’une grande réforme systémique, comme l’appelle de ses vœux la CFDT, mais cela ne signifie pas que nous avons renoncé à obtenir du mieux pour les salariés. »
Vu la situation politique actuelle, difficile de savoir à quoi s’attendre. Seule quasi-certitude : la réforme des retraites ne devrait pas être abordée en urgence au cours de l’été – comme cela avait été, un temps, envisagé. D’ici là, les quelques mesures relatives au pouvoir d’achat annoncées par le gouvernement, notamment celle sur l’augmentation des pensions autour de 4 % pour faire face à l’inflation, devraient être entrées en vigueur.

Les minima retraite

Afin que des droits ne se perdent pas, faute d’être connus, nous résumons ci dessous le droit retraite dit « minimum contributif » et le droit à l’« ASPA » , Allocation de Solidarité aux Personnes Âgées.

Selon les chiffres pour 2019 de la Carsat ex Languedoc Roussillon 611 589 Retraités ont perçus une pension du régime général et 39,2 % de ces retraités ont bénéficié du minimum contributif. France entière 35 % des retraités perçoivent ce minimum contributif dont les 3/4 sont des femmes parce qu’elles ont une petite retraite.
Fortement initié et appuyé par la CFDT, ce minimum contributif est un droit (acquis depuis 1983) parce que la personne a cotisé pour sa retraite et peut prétendre à une pension à taux plein.
C’est un montant de retraite de base garanti pour ceux qui ont droit à la retraite à taux plein (salariés, y compris du régime agricole, artisans et commerçants). Il n’y a pas de demande particulière à faire, le montant est calculé automatiquement au moment de la demande de retraite.
Si tous les trimestres requis, pour avoir le taux plein, ont été cotisés ou si les cotisations ont été versées pendant au moins 120 trimestres (30 ans) ce montant garanti est majoré.
Depuis le 1er janvier 2021, le minimum contributif mensuel est égal à 645,50€ ou 705,36€ s’il est majoré.
Mais cette garantie est versée sous conditions de ressources. Depuis le 1er janvier 2021, le montant total des retraites (retraite de base, retraite complémentaire et minimum contributif) ne doit pas excéder 1.203,37€ par mois.
Ce minimum contributif n’est pas récupérable sur la succession contrairement à l’ASPA.
L’allocation de solidarité aux personnes âgées, l’ASPA, est destinée aux personnes qui, vivant en France, ont l’âge minimal légal de départ en retraite et dont les ressources, parce qu’elles ont peu ou pas travaillé, ne dépassent pas un certain plafond. Pour calculer les ressources disponibles sont pris en compte les revenus et le patrimoine du retraité vivant seul ou en couple.
Son attribution n’est pas automatique, il faut en faire la demande.
Depuis le 1er janvier 2021, les montants de l’Aspa de la Cnav, sont, pour une personne seule sans ressources : 906,81 € par mois, soit 10 881,75 € par an ; pour un couple sans ressources : 1 407,82 € par mois, soit 16 893,94 € par an. Ces montants sont ajustés selon les ressources du bénéficiaires. Il faut alors soustraire ses ressources au montant maximal de l’Aspa .
L’ASPA est exonéré d’impôt sur le revenu.
Les personnes qui touchent l’Aspa ont droit à la complémentaire santé solidaire.

Bénéficiez d’une complémentaire santé de qualité avec la CFDT Retraités.

A la retraite, les salariés perdent, le plus souvent, le bénéfice de la complémentaire souscrite dans le cadre de leur entreprise. Le coût devient donc très important.
Pour les mêmes garanties, les conditions tarifaires d’un contrat collectif sont toujours meilleures qu’un contrat souscrit à titre individuel.
La CFDT Retraités propose à ses adhérents ce service en contrat de groupe avec MGEN Solutions.
Dans ce cadre, pas de délai de carence, la prise en charge est immédiate, pas d’augmentation de cotisation en avançant en âge, pas d’exclusion quel que soit l’état de santé. Ce contrat de groupe donne accès aux réseaux KALIXIA (optique) et AUDISTYA (audition), ce qui permet d’avoir une consommation plus solidaire et responsable.

La seule condition pour bénéficier de ce contrat collectif : vous devez être adhérent à la CFDT Retraités. L’adhésion peut se faire à tout moment pendant la retraite.
Les unions territoriales CFDT de retraités « UTR » disposent des documents nécessaires vous permettant de choisir votre option d’adhésion parmi les 4 possibilités disponibles, en fonction de vos besoins.
Les UTR vous guideront dans vos démarches. Votre demande doit transiter par votre union de retraités qui apposera son tampon sur le bulletin d’adhésion à la complémentaire santé.

Pour l’Hérault contactez l’UTR 34 :
tél 04 67 64 64 86
mail : herault chez retraites.cfdt.fr,
adresse : 474 allée Henry II de Montmorency 34000 Montpellier

Les + de ce contrat CFDT Retraités / MGEN Solutions :
Un accompagnement dans les moments difficiles de la vie avec le Service d’Aide à Domicile Solidarité, (SAD), votre mutuelle verse une participation forfaitaire pour aider au financement d’aide à domicile. En cas d’accident corporel ou maladie non chronique, vous avez droit à des prestations d’assistance à domicile.
Un accès aux offres additionnelles MGEN : MMMieux : le site de prévention santé de la MGEN et MGEN Services habitat : pour aider ses adhérents à améliorer leur habitat.

Portfolio

manif du 11 janvier 2020

manif du 11 janvier 2020