UNION CONFÉDÉRALE CFDT DES RETRAITÉS

D. Vivre au domicile


34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile


Un décès ou une entrée dans un établissement d’hébergement sont des motifs légitimes de licenciement de l’intervenant à domicile employé directement ou par le mode mandataire. La rupture du contrat de travail doit respecter les droits du salarié prévus par le code du travail ou la convention collective.

Mise à jour : du point 5 (27/2/22).

1. Démission du salarié

Durant la période d’essai qui peut être d’1 mois (renouvelable une fois), il n’y a aucun délai de préavis pour mettre fin au contrat de la part des deux parties. Après la période d’essai, le préavis à respecter par le salarié est variable en fonction de l’ancienneté :
 pour une ancienneté, inférieure à 6 mois : 1 semaine ;
 pour une ancienneté comprise entre 6 mois et 2 ans : 2 semaines ;
 pour une ancienneté supérieure à 2 ans : 1 mois.

2. En cas d’hospitalisation de l’employeur

En cas d’impossibilité d’exécution du travail du fait de l’employeur, notamment en cas d’hospitalisation, le salarié est en droit de percevoir son salaire intégral, ainsi que tous les avantages dont il pouvait bénéficier dans l’exercice de son emploi. Il ne doit pas être pénalisé de la non-exécution de la prestation de travail du fait de l’employeur.

3. Procédure de licenciement

Sauf en cas de décès, la procédure observée par l’employeur est :
 convocation à un entretien préalable par lettre recommandée ou remise en main propre contre décharge ;
 entretien avec le salarié, ;
 notification du licenciement.
Les règles de procédures spécifiques au licenciement économique et celles relatives à l’assistance du salarié par un conseiller lors de l’entretien préalable ne sont pas applicables au particulier employeur.
Il est cependant conseillé aux héritiers de notifier le licenciement en raison du décès.

ATTENTION

Certificat de travail

Dans tous les cas de rupture de contrat (démission, départ en retraite, licenciement...), l’employeur doit délivrer au salarié un certificat de travail et l’attestation destinée à Pôle Emploi.

4. Préavis de licenciement

La durée du préavis est fixée à :
 1 semaine pour le salarié ayant moins de 6 mois d’ancienneté de services continus chez le même employeur ;
 1 mois pour le salarié ayant de 6 mois à moins de 2 ans d’ancienneté de services continus chez le même employeur ;
 2 mois pour le salarié ayant 2 ans ou plus d’ancienneté de services continus chez le même employeur.
Le préavis n’est pas effectué en cas de décès et ne peut pas être effectué dans un autre lieu que le lieu habituel de travail dans les autres cas de rupture.

5. Indemnité de licenciement

Un année d’ancienneté suffit pour prétendre à une indemnité de licenciement. Cette indemnité non soumise à cotisations et contributions sociales peut être calculée suivant deux formules, la plus favorable au salarié étant retenue (voir tableau 1).
Le salaire à prendre en considération pour le calcul de l’indemnité est le 1/12 de la rémunération brute des 12 derniers mois précédant la date de notification du licenciement, ou selon la formule la plus avantageuse pour le salarié, 1/3 des 3 derniers mois précédant la date de fin de contrat.

L’indemnité de licenciement se calcule à partir des salaires bruts : 1/4 de mois de salaire par année d’ancienneté jusque 10 ans, puis 1/3 de mois par année au-delà de dix ans d’ancienneté.
En cas d’année incomplète, l’indemnité est calculée proportionnellement au nombre de mois complets.

6. Cas de l’entrée en Ehpad

L’entrée en Ehpad est un motif de rupture du contrat de travail. Toutes les règles et la procédure doivent être respectées (entretien préalable, préavis, calcul des sommes dues au salarié...). En cas de déménagement, il est utile de vérifier si le salarié accepte ou non de modifier son lieu de travail.

7. Cas du décès de l’employeur

Le décès de l’employeur met fin ipso facto au contrat de travail qui le liait à son salarié. Le contrat ne se poursuit pas avec les héritiers. Mais les droits du salarié dont le contrat est rompu doivent être garantis.
Sont dus au salarié :
 le dernier salaire ;
 l’indemnité de préavis (la date du décès de l’employeur fixe le départ du préavis) ;
 l’indemnité de licenciement à laquelle le salarié peut prétendre compte tenu de son ancienneté lorsque le contrat est rompu ;
 l’indemnité de congés payés.

ATTENTION

Qui doit assumer la fin du contrat de travail en cas de décès de l’employeur ?

Le principe de base veut que les dettes sont dues par la personne décédée et que, dans ce cas, elles viennent en déduction de l’actif successoral qui sera ensuite partagé entre les héritiers. C’est donc à la personne chargée de régler la succession qu’incombe la charge de régler les formalités administratives et de verser au salarié les sommes auxquelles il a droit du fait de la rupture de son contrat. Généralement il s’agira d’un notaire mais l’expérience montre que les notaires ne sont pas préparés aux formalités liées à la rupture du contrat de travail. La loi a donc introduit une simplification juridique donnant aux héritiers la possibilité d’effectuer les démarches de fin de contrat d’un salarié du particulier employeur sans que cette démarche n’emporte acceptation de l’héritage. Dans le règlement de l’héritage, les sommes dues au salarié font partie des créances privilégiées. Cette disposition compense le fait que les salariés du particulier employeur n’ont pas accès à un fonds de garantie des salaires.

Pole emploi et le décès de l’employeur
Fepem et le décès du particulier employeur

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  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 30 août à 16:14

    Mon salarié CESU qui est jardinier a une ancienneté de 17 ans et 5 mois
    D’un commun accord depuis le début de son contrat, il vient seulement en fonction de la météo et des travaux à effectuer inhérents.
    Je vais procéder à son licenciement.
    Questions :
    1 – en raison de l’irrégularité des tâches, est-il considéré en CDD ou CDI et selon, quelles incidences sur les indemnités ?
    2 – afin de calculer le salaire moyen de référence pour le versement des indemnités, sur quelles bases doit-on se référer : je vois sur beaucoup de sites que ce sont les 12 mois précédant le licenciement (ou les 3 mois si le montant est plus favorable), mais s’agit-il des mois civils (sachant que depuis 1 an, de AOUT 2023 à AOUT 2024, il a touché 3 mois travaillés en salaires) ou des 12 mois expressément travaillés et rémunérés (ce qui fait remonter à NOV 2020) : je n’arrive pas à travailler l’information légale.
    3 – il n’est plus venu travailler depuis JUIN 2024 (et ne viendra plus….) : y a-t-il un préavis à payer et dans l’affirmative, comment le calculer ?
    Merci pour votre réponse

    Répondre à ce message

    • Le 30 août à 17:39

      Votre question est trop complexe pour être traitée dans ce forum. Il semble que les conditions relèvent du contrat de travail. Je vous invite à consulter la base de données de l’URSSAF en suivant le lien

      Répondre à ce message

      • Le 30 août à 18:30

        Merci Monsieur d’avoir répondu aussi rapidement.
        J’ai regardé sur le lien "contrat de travail" et je n’ai pas trouvé la réponse souhaitée....
        En ce qui concerne mon point - 2 - , je me permets de vous demander votre avis si vous pensez qu’il s’agit de l’année civile de 12 mois, donc de remonter 1 an en arrière quels que soient le nombre de mois travaillés et rémunérés (mon calcul serait alors de la somme des 3 mois et la diviser par 12) ou s’il s’agit des 12 mois effectivement travaillés et rémunérés sur plusieurs années en amont (mon calcul serait alors la somme des 12 salaires et la diviser par 12). La somme n’est pas du tout la même et je ne veux pas me tromper....
        J’espère avoir été explicite car c’est vrai que c’est assez nébuleux !...
        Merci beaucoup si vous pouviez me renseigner au moins sur ce point.

        Répondre à ce message

        • Le 30 août à 18:43

          Les 12 mois sont de date à date. Je faisais référence au contrat de travail qui doit définir de plages de travail mais dans votre cas, il n’y a aucune référence constante, c’est à vous de définir ce qui vous parait le plus juste et d’éviter le risque d’un contentieux.

          Répondre à ce message

  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 14 août à 12:58

    Bonjour, ma mère emploie une auxiliaire de vie en CDI depuis un an, 10h par semaine. Elle souffre de troubles cognitifs qui ne justifient pas pour l’instant une entrée en EHPAD. Cependant, mes frères, ma mère et moi avons décidé qu’elle alternerait des séjours assez longs chez nous (qui sommes éloignés géographiquement de chez elle) et des périodes à son domicile. Nous ne souhaitons donc plus employer son auxiliaire de vie car les besoins ne sont plus réguliers. Cela constitue-t-il un motif de licenciement ? Et si oui comment le qualifier dans la procédure ?
    Merci beaucoup.

    Répondre à ce message

    • Le 14 août à 21:19

      La modification du lieu de travail ou l’absence de la personne aidée et l’impossibilité de définir les périodes de travail sont des raisons suffisantes qui justifient un licenciement économique.

      Répondre à ce message

  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 7 août à 20:26

    bonjour,
    je suis licenciée pour inaptitude par l’admr. comment est calculée la prime de licenciement. j’ai fait plusieurs admr mais toujours dans le meme département
    2006/2018 admr X puis nous avons été transférée à l’admr y. en 2021 je démissionne de l’ admr y pour retourner après mes deux mois de préavis a l’ admr x. Ensuite en janvier 2022 l’admr x fusionne avec l’admr Z et devient l’admr XZ. cette dernière a du me licenciée pour inaptitude en juillet 2024, pour calculer la prime de licenciement ils n’ont pas pris l’année 2006 comme entrée dans l’entreprise... est ce normal ? pourtant sur ma feuille de paye l’échelon ancienneté est 8. dans l’attente d’ être éclairée merci

    Répondre à ce message

    • Le 8 août à 16:40

      Je crois savoir que l’ADMR est organisée en associations locales, donc des entités juridiques distinctes. Ces ADMR pourraient considérer qu’il s’agit de contrats de travail différents. Cependant, votre activité est toujours la même et sur le même territoire. Dans ce cas, il pourra être évoqué l’article 1224-1 du Code du travail (ou Article L1224-3-2) qui permet la poursuite du contrat de travail. Auquel cas l’ancienneté aura pour origine 2006.
      Cependant, votre démission en 2021 constitue un écueil à cette démarche car vous avez manifesté vous-même votre intention de mettre fin à votre contrat.. Il faudrait analyser le pourquoi et les circonstances de cette démission pour engager un recours qui pourrait vous être favorable. Vous pouvez toujours contester votre solde de tout compte par courrier recommandé à votre employeur en vous appuyant sur la mention de l’échelon sur le bulletin de salaire.

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  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 5 août à 19:18

    Bonjour,

    j’emploie une auxiliaire de vie pour le maintien à domicile de mon père atteint d’une maladie apparentée Alzheimer.

    Elle souhaite suivre une reconversion et nous a demandé il y a quelques mois une rupture conventionnelle, que nous avons refusée car mon papa l’apprécie beaucoup et nous apprécions son travail.

    Depuis, elle se montre très négative. Elle a tenté d’être reconnue inapte par la médecine du travail en mettant en avant des conditions de travail difficiles, une charge de travail et une forme de harcèlement. Nous avons dû insister pour que le médecin du travail se déplace au domicile de notre papa et constate que les conditions étaient plus que favorables.
    Elle refuse toutes formes de communication et en réponse à nos messages, se montre agressive, prend très mal n’importe quelles informations et confère des propos calomnieux à l’égard des membres de ma famille.
    Elle s’est mise en arrêt mais sans nous prévenir donc mon papa s’est retrouvé tout seul, dans le noir, sans mangé et complétement désorienté, jusqu’à ce que j’arrive.
    Ce comportement nuit à la santé et la sécurité de mon père. Aujourd’hui, je ne sais pas si demain, elle interviendra car aucune nouvelle donc je vais me rendre au domicile de mon père (à 40 km de chez moi), au cas où.

    Je pourrais lui proposer d’alléger ses taches et de ne rester que pour l’accompagnement quotidien en diminuant ses heures mais même comme cela je crains pour la sécurité et la santé de mon papa, je suis donc un peu perdue.

    Je ne sais pas quoi faire ? Puis-je la licencier ? pour quels motifs ?

    J’ai déjà trouvé deux autres auxiliaires de vie qui pourraient la remplacer mais ne sachant pas si elle souhaite continuer à travailler et si oui, dans quelles conditions et état d’esprit, il est difficile de planifier les interventions.

    Pouvez vous m’aider à trouver une solution ?

    Je vous remercie.

    Répondre à ce message

    • Le 6 août à 16:18

      Je ne peux pas vous conseiller à partir de la situation que vous décrivez.
      Cependant je peux vous dire que si vous envisagez un licenciement, vous prenez un risque juridique si la salariée saisit le conseil de prud’hommes. D’une part un licenciement pendant une absence pour maladie sera abusif et d’autre part, un autre motif devra être sérieusement prouvé.
      Dans des circonstances de relations dégradées, la rupture conventionnelle serait la sortie la plus honorable.

      Répondre à ce message

  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 25 juillet à 10:12

    Bonjour,
    Mon père a signé un contrat avec une association mandataire il y a un peu moins de 2 ans. L’auxiliaire de vie est en arrêt-maladie (il enchaine les remplaçantes) et elle vient d’être déclarée inapte par la médecine du travail. Il souhaite mettre fin au contrat avec ce mandataire car il est très insatisfait des services rendus. Une lettre de résiliation de contrat est à envoyer au mandataire mais il souhaite savoir s’il devra verser des indemnités de licenciement alors que l’auxiliaire de vie est déclarée inapte.
    Merci de votre retour,
    Cordialement

    Répondre à ce message

    • Le 25 juillet à 17:21

      Une procédure de licenciement doit être engagée pour inaptitude. Le particulier, recourant au service mandataire, a l’entière responsabilité juridique liée à sa qualité d’employeur. Il convient de vérifier si le contrat avec le mandataire prévoit l’engagement de la procédure de rupture du contrat de travail.
      Ce licenciement entraine le paiement de l’indemnité de licenciement mais le préavis non effectué ne sera pas payé.
      La salariée étant licenciée, le contrat avec le mandataire devient sans objet et sera rompu pour ce motif.

      Répondre à ce message

  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 20 juillet à 14:23

    Bonjour,
    ma tante vivait en couple. Son compagnon est décédé.
    chacun employait 3 personnes payées par le Cesu avec un compte urssaf séparé.
    Elle continue à employer les 3 personnes à titre personnel.
    Faut-il procéder aux licenciements concernant Monsieur, où peut-on continuer avec Mme avec un avenant au contrat ?
    Si le licenciement est obligatoire, qui se chargera de payer,´sachant qu il a 2 enfants sans contact depuis des années (seuls héritiers et sans aucun bien et peu de fonds !) ?
    merci De votre réponse sachant qu une des employée est procédurière et nous voulons éviter les risques.
    cordialement

    Répondre à ce message

    • Le 20 juillet à 15:52

      Légalement, le décès d’un employeur entraine la rupture du contrat de travail des salariés avec paiement des indemnités de rupture ce qui devraient impliqués les héritiers. Cependant, les salariés concernés, même procéduriers, auront beaucoup de difficultés à recouvrer leurs droits.
      La meilleure solution pour eux est d’accepter le transfert de leur contrat de travail par la voie d’un avenant qui garantit leurs droits : ancienneté, qualification, rémunération et les avantages acquis.. Il pourra être évoqué l’Article L1224-1 du code du travail relatif à une modification dans la situation juridique de l’employeur.

      Répondre à ce message

  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 6 juillet à 12:07

    Bonjour. Après 3 années de congé maladie, mon employée de maison (3 heures par semaine en contrat CESU ) veut démissionner. Néanmoins cette personne souhaite une visite médicale auprès de la médecine du travail alors qu’elle ne reprendra pas son travail. Que doi-je fire
    Merci pour votre réponse

    Répondre à ce message

    • Le 7 juillet à 19:04

      Sur le plan strictement légal. La démission doit être notifié de manière claire et non équivoque à l’employeur par courrier. Si la salariée demande une visite médicale de reprise, c’est qu’elle ne veut pas démissionner. Il peut s’agir d’une demande de reprise (éventuelle) du travail à l’issue des arrêts maladie. Vous ne pouvez pas pas vous y opposer. Déclarée inapte, il faudra alors procéder à son licenciement. Le licenciement pendant un arrêt maladie n’est pas légal.

      Répondre à ce message

  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 11 juin à 17:32

    Bonjour
    Mon employeur rentre en EHPAD jeudi 11mai sachant que ça fait 2ans que je travaille pour elle comment sa se passe pour mon salaire de juin et la fin de contrat

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  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 7 mai à 14:04

    Bonjour ma cliente me licencier de mon travail de nuit car ça lui coûte trop cher mais veut me garder pour travailler la journée pour lui faire sa toilette son repas il veut pas me donner mes indemnités de licenciement pour mes nuits car elle veut que je continue à travailler la journée et elle dit qu’elle me donnera mes indemnités de licenciement quand quand elle sera décédée et quel papier dois me donner pour que je puisse m’inscrire aux ASSEDIC pour mes heures de nuit merci cordialement

    Répondre à ce message

    • Le 7 mai à 17:45

      Les indemnités de licenciement ne sont versées que si le contrat de travail est rompu. Ce n’est pas la modification des tâches qui entraine le licenciement.
      Si vous acceptez la modification du contrat de travail en raison du changement des conditions de travail, cela doit faire l’objet d’un avenant. Dans ce cas, vous conservez votre ancienneté qui produit des droits supplémentaires pour l’indemnité de licenciement futur.
      Vous avez le droit de refuser cette modification notamment s’il y a réduction de votre salaire, ce qui entrainera le licenciement et la remise des documents de fin de contrat et de l’attestation de Pôle emploi.
      Si le contrat de travail n’est pas rompu, vous n’avez pas droit aux indemnités de chômage.

      Répondre à ce message

  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 1er mai à 07:10

    Bonjour.
    Un couple de particulier employeur divorce, C’est Mme qui quitte le domicile.
    LE compte employeur cesu est au nom de Mme.
    MR veut continuer notre collaboration dans les même conditions , il ouvrira sont propre compte employeur,je conserve donc mon ancienneté initiale.
    Es ce que Mme doit me licencier ?
    Cordialement Merci.

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    • Le 1er mai à 08:45

      Si votre employeur conserve votre ancienneté, vos tâches et votre lieu de travail ne sont pas modifiés, il n’y a pas lieu de rompre le contrat de travail. Il faut cependant formaliser le transfert du contrat par un avenant qui mentionne la reprise de l’ancienneté.

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  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 27 avril à 17:21

    Mon employeur part en ephad. Je travaille 6 heures par semaine, comment je calcul mon indemnité de licenciement. Ça fait 3 ans que j étais chez lui

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  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 26 avril à 10:15

    Bonjour’
    notre maman était à la maison . Son état de santé c’est dégradé ,elle à fait un AVC et hospitalisée et ne reviendra pas chez elle ;
    Elle sera transférée dans un ehpad ensuite (toujour à l’hospital )
    elle emploie 2 personnes en contrat césu URSSAF aide à domicile qui devront être licenciés
    A partir de quand nous devont les licencier et comment !

    Répondre à ce message

  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 23 avril à 14:52

    Bonjour,
    Mon père a 93 ans et non voyant,il emploie depuis 2 ans une auxiliaire de vie.Mon père vient d’être admis en ssr (rééducation)depuis 3 semaines,il va être placé en epahd dès sa sortie.Il y a maintien de salaire.Mais voilà il n’y a pas de contrat et l’auxiliaire me dit que tant qu’il sera hospitalisé nous ne pouvons pas arrêté le maintien de salaire.Est ce possible ?

    Répondre à ce message

    • Le 23 avril à 15:05

      Avec ou sans contrat, le code du travail et la CCN s’imposent.
      Le SSR a le même statut que l’hôpital, voire point 2 de cette fiche.
      Vous devez attendre l’entrée en Ehpad pour avoir le droit de la licencier, voir point 6 de cette fiche.

      Répondre à ce message

  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 6 avril à 16:45

    Bonjour,
    Ma belle mère âgée de 91 ans est rentrée en Ehpad depuis avril 2023. Elle avait une aide ménagère en congé de maladie puis de maternité( depuis septembre 2020) . Suite à cela, un congé parental ( depuis août 2021). Pouvons nous la licencier afin de mettre fin à ce contrat ? mais sous quel motif ?
    En vous remerciant pour votre réponse.

    Répondre à ce message

    • Le 6 avril à 18:11

      L’employeur peut, pendant un congé parental d’éducation, prononcer un licenciement pour un motif économique (possible en raison de l’entrée en Ehpad). Le salarié pourra alors, s’il en remplit les conditions, bénéficier d’indemnités de licenciement. En revanche, l’indemnité de préavis ne lui sera pas versée.

      Répondre à ce message

  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 25 mars à 19:07

    Bonjour,

    Ma tante, célibataire et sans enfants, employait en Cesu une aide ménagère à hauteur de 3h environ par semaine depuis 2016. Cette dernière est partie en 07/23 pour maternité. Elle devait reprendre le travail en janvier 24.
    Ma tante alors hospitalisée depuis 3 semaines (12/23) n’est plus rentrée chez elle pour finalement rentrer en EPADH le 12/2/24.
    L’auxiliaire de vie ne me fournit aucun contrat et vient seulement de me transmettre les paies d’une année, la semaine dernière.
    Je suis la nièce et j’ai demandé la tutelle de ma tante (gros problèmes cognitifs) pour laquelle j’attends encore la réponse du juge.
    * Suis je en droit d’engager la procédure de licenciement pour ma tante de qui je n’ai pas de procuration ?
    * Puis je demander à l’auxiliaire de vie de venir durant les 2 mois de préavis, tenir compagnie à ma tante en épadh, et éventuellement la promener en extérieur ?
    (Car cela fait 3 mois qu’elle me fait croire qu’elle attendait du Césu les éléments concernant son dossier, je trouverai normal que ma tante puisse bénéficier de ses services au moins pendant le préavis ?)
    * Elle ne me fournit pas de contrat de travail comment puis je savoir quels sont les termes du contrat (CP, Heures mensuelles... ?)
    Merci de votre retour.
    Cdlt Muriel Sempé

    Répondre à ce message

    • Le 26 mars à 10:46

      Je ne peux pas vous donner les règles applicables en l’absence de contrat et en raison d’impossibilité d’agir de votre tante, l’employeur. La réponse du juge des tutelles risque de durer. Seul un arrangement à l’amiable avec la salariée pourrait permettre de sortir de l’impasse. Autre solution, poursuivre le contrat de travail en proposant à l’auxiliaire de vie d’être dame de compagnie en Ehpad, jusqu’à ce que la situation économique de votre tante ne permette plus le maintien de l’emploi. La tutelle vous permettra d’engager la procédure.

      Répondre à ce message

  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 13 mars à 10:18

    Bonjour
    la personne âgée dont je m’occupe depuis 4 ans, est tombé chez elle et ces enfants la placent en ephad
    J’ai reçu ma lettre de licenciement en date du 4 mars dernier et ce matin, j’ai un entretien avec les enfants qui veulent me faire vider la maison
    soit disant pendant ma période de 2 mois de préavis……je n’ai jamais été embauché pour être déménageur😃😉……
    je m’occupais de ces repas et un peu de ménage ……
    ma question est, vu que la personne dont je m’occupais, n’est plus présente, est ce que je dois faire mes 2 mois de préavis ??
    ou comme suite à un décès, le placement à l’Ehpad donne lieu à ne pas exécuter les 2 mois de préavis
    merci de votre réponse
    belle journée à vous🙏

    Répondre à ce message

    • Le 13 mars à 10:57

      Contrairement au décès, l’employeur n’a pas disparu. Vous êtes tenu d’effectuer le préavis. Cependant, le contrat de travail doit être respecté dans les tâches qui vous sont habituellement attribuées.

      Répondre à ce message

  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 9 mars à 22:13

    Bonjour
    suite à un arrêt de travail remontant au 01 juin 2015, et oui ! neuf ans après je reçois une lettre recommandée de mon " ex femme de ménage" me stipulant sa volonté de reprendre son travail
    dans l’entre deux , je n’habite plus au même endroit et donc plus besoin des services de cette dame !
    ne sachant pas à l’époque si elle allait revenir , je n’ai pas fait de licenciement dans les trois ans du début de l’arrêt de travail
    comment dois je procéder maintenant et comment sont calculées ces indemnités de licenciement
    merci de vos conseils
    Cordialement
    Dominique PAUCHET

    Répondre à ce message

    • Le 10 mars à 18:32

      Attention, la procédure pour un salarié en maladie est délicate.
      Si la salariée au cours des neuf années n’a pas produit des arrêts maladie, vous auriez pu demander la résolution judiciaire du contrat de travail.
      A partir de cette demande de reprise, il faut mettre fin à la suspension du contrat de travail pour maladie. Seule la visite médicale auprès de la médecine du travail, met fin à cette suspension. En cas d’inaptitude (vraisemblable), la salariée sera soit reclassée soit licenciée. On comprendra que pour un particulier employeur le reclassement sera difficile.
      Si par contre, elle est considérée comme apte, alors seulement vous pourrez envisager une procédure pour licenciement économique en raison de votre déménagement.
      Le taux de l’indemnité légale est le même quel que soit le motif du licenciement, personnel ou économique. Ce taux est le suivant (C. trav., art. R. 1234-2 ; D. no 2008-715, 18 juill. 2008 ; D. no 2017-1398, 25 sept. 2017) :
      — 1/4 de mois de salaire par année d’ancienneté pour les années jusqu’à 10 ans ;
      — 1/3 de mois de salaire par année d’ancienneté à partir de 10 ans d’ancienneté.
      La période d’absence pour maladie n’est pas comptée dans l’ancienneté.

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  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 7 mars à 12:08

    Bonjour, mon employée de maison embauchée le 1 er mars 2018 est en arrêt de maladie depuis le 1 er février 2021. Elle vient de m’envoyer son titre de pension d’invalidité catégorie 2 qui vient de lui être accordé. Nous allons la licencier. Dois-je inclure dans les indemnités la période où elle était en arrêt de travail (2 ans) ?
    merci de votre réponse ..

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  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 29 février à 11:50

    Bonjour,
    Ma mère part en Ehpad et employait depuis plusieurs années une aide à domicile. Celle-ci touche par ailleurs une retraite à taux plein depuis juin 2023 en raison de ses anciens emplois. Elle a continué à travailler pour ma mère et ne nous a pas prévenu de cette retraite avant le mois de décembre. Il n’y a donc pas eu de changement de contrat de travail.
    Faut-il calculer la durée du préavis en prenant en compte le début de son travail chez ma mère ou sa date de retraite ? Même chose pour le montant de la prime de licenciement. Merci de votre aide

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    • Le 1er mars à 10:42

      La liquidation des pensions de retraite suppose que le contrat soit rompu à la même date.
      On peut donc considéré que l’ancienneté prend effet à cette même date tant pour le préavis et le cas échéant l’indemnité de licenciement. Cependant, cette situation peut poser un problème d’ordre juridique, le contrat n’étant pas formellement rompu à la date du départ à la retraite. S’il l’avait été, la salariée aurait pu prétendre à une indemnité de départ à la retraite (voir fiche 18 >>>lien). Pour éviter une saisine du conseil de Prud’hommes, un accord amiable serait prudent.

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  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 14 février à 14:55

    Bonjour
    La dame que je m occupais depuis janvier 2022
    Parti en EPADH le 22 janvier.
    Je n avais pas de contrat depuis
    Simplement les bulletins de salaire CESU.
    le fils m as régler aujourd’hui que les Heures de Janvier.
    Pas de licenciement
    Pas de preavis
    Pas de courrier.
    Est-ce que je peux Aviser le Cesu.
    Dans l attente de votre réponse
    Merci
    Cordialement

    Répondre à ce message

    • Le 14 février à 19:14

      Le contrat de travail est obligatoire pour un travail de plus de 8h de travail par semaine ou pour plus de 4 semaines de travail consécutives. Les fiches de paie attestent du contrat de travail. La procédure de licenciement doit être respectée et les indemnités de préavis et de licenciement doivent être payées. Faites une lettre de mise en demeure. Sans réponse vous devrez saisir le conseil de Prud’hommes.

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      • Le 17 février à 18:36

        Bonsoir.
        Je reviens vers vous car j’ai relancer le fils pour lui dire que je n’avais pas eut les documents certificat de travail et autres à la fin de ma mission 22 Janvier. 2 ans d ancienneté départ de sa maman EPADH
        j’ai eut que les heures du mois de janvier de payer déclarer CESU+ il m’as dit que je n’avais pas de contrat de travail et que j’étais payer CESU+.
        C’est pour ça que je n’ai pas l’indemnité de licenciement et les documents certificat de travail et autres.
        En Sachant que je fais un complément de salaire avec ma retraite
        J attends votre réponse pour le relancer.
        Soit il est pas au courant du fonctionnement du Cesu sinon je vais lui dire de se renseigner
        Merci d avance

        Répondre à ce message

  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 17 février à 08:12

    Je vais licencier mon employé CESU plus, reconnue travailleur handicapé .
    Elle travaille depuis 5 mois , à mon domicile .
    Dois je doubler son préavis de licenciement ?
    J ai lu que moins de 6 mois de travail ,le préavis était d une semaine ?
    Cordialement

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  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 14 février à 20:55

    Bonjour, mon père vient de décéder et il employait une auxiliaire de vie, en CESU depuis 12,5 ans. Je calcule ses indemnités de licenciement, en prenant en référence la moyenne de ses 3 derniers salaires ( qui sont plus favorables à la salariée que les 12 derniers). 1/4 de mois de salaire pour les 10 ans puis 1/3 au-delà.
    Par contre, la salariée avait débuté en 2011, en faisant 2h semaine durant 45 mois, puis 5h semaine durant 78 mois, 8h semaine durant 13 mois, et pour finir 20h semaine durant 11 mois.
    Faut-il proratiser pour chaque période ? C’est ce que m’a dit l’inspection du travail en me renvoyant à leur fiche du service public F987. La salariée a calculé son indemnité de son côté sans proratiser, selon les indications de l’inspection du travail... Ou d’un simulateur qui ne tient pas compte des différentes périodes. L’indemnité de licenciement qu’elle a calculée ainsi (hors les 2 mois de préavis qui lui seront réglés), représente 9% du total des salaires qu’elle a perçu depuis son embauche... en proratisant j’arrive à 3%, ce qui me semble plus logique ? Je ne veux que personne ne soit lésé mais que se soit légal et équitable pour chaque partie. Y a t’il un texte loi qui s’applique au CESU car je n’ai rien trouvé dans la convention collective. Merci par avance. Bonne soirée

    Répondre à ce message

    • Le 15 février à 11:35

      Le CESU n’est qu’un mode simplifié du paiement du salaire. C’est donc la législation de droit commun qui s’applique. Pour le travail à temps partiel, l’article L3123-5 indique :
      « L’indemnité de licenciement (...) du salarié ayant été occupé à temps complet et à temps partiel dans la même entreprise sont calculées proportionnellement aux périodes d’emploi accomplies selon l’une et l’autre de ces deux modalités depuis son entrée dans l’entreprise. »
      Il convient de proratiser le calcul.

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  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 11 février à 17:03

    Bonjour
    ma mère a besoin d’une auxiliaire de vie toutes les nuits pour le moment de manière temporaire (tout au moins nous l’espérons).
    Elle emploie donc 2 auxiliaires à domicile.
    nous nous posons encore beaucoup de questions sur la manière de les rémunérer. Ces 2 personnes travailleront aussi bien la semaine que le week-end et nous ne savons pas encore comment les déclarer à l’Urssaf . Est ce que nous pouvons faire 2 déclarations pour la même employée : un nombre d’heures pour les heures de semaine et un nombre d’heures pour les heures de week-end ?
    de plus est-ce que l’indemnité de nuit est soumise aux même cotisations que les heures effectives ?
    Enfin dernière question, si ma maman n’a plus besoin de ces auxiliaires car son état s’améliore, comment faisons nous pour arrêter le contrat ?
    merci à vous
    bonne journée
    Michele

    Répondre à ce message

    • Le 12 février à 10:48

      Je ne vois pas l’intérêt de faire des déclarations distinctes, le bulletin de salaire comportera les heures de semaine et de nuit. Toutes indemnités qui ne compensent pas des sujétions (frais de repas, frais de déplacement,...) sont soumises à cotisations. Si l’objet de l’emploi disparait, le licenciement peut être légalement motivé. Mais il s’agira d’un licenciement pour motif économique du CDI. Autre solution le CDD avec cependant des contraintes : Respect du terme du contrat, limité à 18 mois mais renouvelable 1 fois, indemnité de fin de contrat.

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      • Le 12 février à 15:47

        Bonjour
        merci pour votre réponse rapide !
        les taux horaires de semaine et de week-end ne sont pas les mêmes il est donc nécessaire de pouvoir faire la distinction
        merci pour votre réponse sur le licenciement cela me convient !
        Michèle

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        • Le 13 février à 10:50

          Il est toujours possible d’indiquer sur le bulletin de salaire un taux horaire pour la totalité des heures et de distinguer une majoration pour celles effectuées le week-end

          Répondre à ce message

  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 9 février à 16:23

    Bonjour
    Je m occupais d un papy depuis septembre 2023 qui est rentré en EHPAD fin décembre j ai été payé normalement
    J ai eu mon entretien pour le licenciement le 29janvier est-ce que je vais être payé en janvier ?? Je n ai tjr pas reçu la lettre recommandée pour le licenciement
    Je suis en CESU
    Merci pour votre réponse

    Répondre à ce message

  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 8 février à 18:30

    Mon employeur (madame)vient de décédé.
    Je travaillais donc à domicile.
    Son mari me demande de continuer à travailler pour lui.
    J ai accepté
    Comment cela se passe pour les papiers ?

    Répondre à ce message

    • Le 9 février à 16:19

      Votre contrat de travail se poursuit, vous conservez votre ancienneté. Si vous avez signé un contrat écrit, pour la bonne forme, vous pouvez demander à faire un avenant en modifiant l’identité de l’employeur.

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  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 26 janvier à 16:02

    Bonjour.
    Depuis janvier 2022 je m’occupais d’une dame à domicile Atzeimer.
    Elle vient de rentrer en EHPAD par contre j’étais payé en CESU mais le fils ne m’avait pas fait de contrat de travail comment cela se passe-t-il ?pour le paiement car je pense que c’est quand même un licenciement merci pour votre réponse

    Répondre à ce message

    • Le 26 janvier à 19:05

      En effet il s’agit d’un licenciement, le CESU en atteste. En principe le préavis et l’indemnité de licenciement éventuelle sont dus.

      Répondre à ce message

      • Le 5 février à 10:31

        Bonjour.
        La dame est rentée en Epadh le 22 Janvier.
        Le fils n’a toujours pas fait la déclaration au CESU et ne me demande pas du tout mes heures pour me régler que dois-je faire car on est quand même au 5 février soit il attends.
        j’attends quand même mon salaire et pour moi je ne vais pas avoir de préavis ni de licenciement que dois-je faire ?
        En sachant que les déclarations CESU doivent être fait au plus tard le 5 mais comme j’ai fini le travail as-t-il le droit d’attendre pour faire la déclaration.
        Merci

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        • Le 5 février à 18:25

          Le ou les héritiers doivent assurer la régularisation de la fin du contrat de travail soit la remise des documents (certificats de travail, attestation pôle emploi, fiches de paie) et le paiement des salaires restant dus, préavis et indemnité de licenciement. Faites un courrier en ce sens par lettre recommandée avec accusé de réception. En l’absence de réponse, saisissez le Conseils de prud’homme.

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  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 4 février à 17:55

    Ma belle mère est en ephad à elle le droit de embauche en cesu quand je la sort pour rendez vous ou autre

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  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 25 janvier à 00:07

    mon employeur qui me paye en cheque emploie service depuis année2017me prend quand elle le décide il a des mois quelle me prend pas du tout j e suis pas payer es normal la le chômage veux mais papier unedic elle me soutient quelle est dans c est droit le chômage me dit quelle devais me faire des cdd

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    • Le 25 janvier à 11:35

      Le contrat de travail (CDD) n’est pas toujours obligatoire pour l’utilisation de CESU. Il est obligatoire pour un travail de plus de 8h de travail par semaine ou pour plus de 4 semaines de travail consécutives. Renseignez vous à l’inspection du travail.

      Répondre à ce message

  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 15 janvier à 14:21

    bonjour,
    Mon père de 93 ans emploie une auxiliaire de vie depuis SEPTEMBRE 2022.
    Cette dernière est en maladie depuis le 01/09/2023 et ce jusqu’au 2/05/2024.
    Je souhaite la licencier pour embaucher une autre personne du fait de sont arrêt maladie (trop long) afin que mon père retrouve une stabilité dans les intervenants à domicile.
    Le préavis est-il du malgré le fait que l’ADV ne peut pas l’effectuer ?
    Merci pour vos retours.
    Danielle

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    • Le 16 janvier à 09:19

      En effet, si la salariée ne peut pas assurer sa prestation de service, le préavis ne sera pas payé. Mais le préavis continue à produire ses effets. Autrement dit, le contrat de travail prendra fin 2 mois après la réception de la lettre de licenciement.

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  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 11 janvier à 14:13

    Bonjour, ma mère est décédée le 10 janvier 2024. Elle employait 3 auxiliaires de vie en mandataire.
    La date de fin de leurs contrats est donc la date de décès soit le 10 janvier, ma question concerne la procédure de licenciement :

    Nous avons prévenu les auxiliaires de vie du décès de notre mère, devons-nous :
     prévoir un entretien en vue d’un licenciement en respectant la procédure soit convocation à entretien qui devra avoir lieu au minimum 5 jours après la réception de la convocation et ensuite, notification après un délai de 2 jours après l’entretien, ou, comme le licenciement a lieu suite au décès de l’employeur, devons-nous, uniquement envoyer le lettre de licenciement avec date de fin de contrat à la date de décès, sachant que nous paierons les salaires jusqu’au 10 janvier, le préavis non effectué payé et l’indemnité de licenciement, en résumé :

    Pouvons-nous envoyer directement la lettre de licenciement sans convocation à entretien en respectant les délais.

    Autre question :
     une des auxiliaire de vie est en arrêt de maladie depuis 6 mois, pouvez-vous nous la licencier et comment calculer l’indemnité de licenciement vu que ses bulletins de salaire sont à 0.

    Merci beaucoup de votre réponse

    Répondre à ce message

    • Le 11 janvier à 18:46

      Le décès du salarié est un cas de force majeure
      Le contrat est rompu automatiquement du fait du décès.
      L’employeur n’a pas de procédure particulière à suivre y compris pour la personne malade. Le salière à prendre en compte est celui avant la maladie.

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  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 21 décembre 2023 à 15:54

    Bonjour Monsieur madame,

    Je suis actuellement auxiliaire de vie, en cdi contrat mandataire chez une personne âgée à temps plein , Par le biais d’une société d’aide à domicile.

    Mon employeur il est actuellement hospitalier depuis 27/11/2023, et depuis cette date j’ai pas reçu de salaire, et je ne serai pas payé pour toute la période d’hospitalisation, d’après la société intermédiaire.
    Comme Mr il ira directement après en ephad,il y aura pas de retour à domicile, une procédure de licenciement va être déclencher cette semaine par le bureau.

    Ma question et la suivante, est ce que je dois percevoir mon salaire pendant la période d’hospitalisation de Monsieur ou pas ?

    Dans l’attente d’une réponse de votre part ,Je vous prie d’agréer mes salutations Distinguées .

    Répondre à ce message

    • Le 22 décembre 2023 à 16:48

      L’hospitalisation ou l’entrée en EHPAD (ni même le décès) ne constituent pas une force majeure. Le salaire est dû ainsi que le préavis. En cas d’hospitalisation le versement de l’APA est maintenu durant les 30 premiers jours de l’hospitalisation.

      Répondre à ce message

  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 1er décembre 2023 à 12:12

    Bonjour,
    Ma question porte sur l’entretien de licenciement. Ma mère est entrée en Ehpad. Handicapée, elle employait plusieurs aides à domicile via un mandataire. Le mandataire se charge de toutes les formalités (convocation à l’entretien, lettre de licenciement, calcul des indemnités) mais affirme que seule ma mère ( 92 ans) peut mener l’entretien de licenciement. N’y a-t-il vraiment aucun autre moyen ? Ma mère peut-elle au moins se faire assister lors des entretiens ? La présence d’un huissier pour constater la présence ou l’absence des employés lors de l’entretien est elle autorisée ? La présence de l’huissier lors de l’entretien est-elle autorisée ? Enfin un tuteur peut-il se substituer à l’employeur pour l’entretien de licenciement ? Merci d’avance pour votre aide.

    Répondre à ce message

    • Le 1er décembre 2023 à 18:54

      Si la loi indique que l’entretien doit être conduit par l’employeur, celui-ci peut donner un mandat et vous pouvez très bien la représenter. Le motif du licenciement pourra difficilement être contesté, le risque juridique est limité au regard des capacités de votre mère sur une simple question de procédure.

      Répondre à ce message

  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 13 novembre 2023 à 09:52

    Bonjour,
    Une des employées à domicile de mes parents m’a notifié son souhait de prendre 3 mois de congés d’un coup, que j’ai accepté. Elle a donc 5 semaines de congés payés + 7 semaines de congés sans solde.
    Mes parents risquent d’entrer en Ehpad. A ce que je comprends, j’ai le droit de la licencier pendant ses congés payés, mais je ne peux faire commencer le préavis (qui sera d’1 mois) qu’à la fin des congés payés. Mais il se trouve qu’à la fin des 5 semaines de congés payés, elle sera pour 7 semaines en congés sans solde. A mon sens, je ne dois pas lui payer son mois de préavis puisqu’elle sera en congés sans solde (sauf si elle préfère revenir travailler son préavis et que j’accepte). Est-ce exact ?
    D’autre part, est-ce gênant si l’entretien préalable au licenciement ne peut avoir lieu parque qu’elle est en congés ?
    Merci d’avance pour votre réponse.
    C.Lie

    Répondre à ce message

    • Le 14 novembre 2023 à 10:51

      Je n’ai rien trouvé dans la jurisprudence sur l’exécution du préavis durant un congé sans solde.. A mon sens, le congé sans solde n’empêche pas le licenciement. Par contre la convocation à l’entretien préalable sera à éviter, notamment si la salariée n’est pas en mesure de s’y rendre.

      Répondre à ce message

  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 12 août 2023 à 10:23

    Bonjour,
    Mon frere emploie une personne en CESU. Il est hospitalisé depuis 15 jours et malheureusement atteint d’un cancer incurable qui lui laisse qqs semaines devant lui. Il est lourdement handicapé et ne peut ni se déplacer, ni écrire (et difficile de parler).
    Bref, nous souhaitons mettre un terme au contrat CESU car il, quoi qu’il arrive, il ne rentrera plus chez lui...ai je le droit de le représenter pour l’entretien préalable et toutes les autres formalités ??? il est vraiment dans l’incapacité de le faire.
    merci de votre retour.

    Répondre à ce message

    • Le 14 août 2023 à 08:45

      En principe, vous devez avoir un pouvoir. Rédigez une courrier qui sera signé par votre frère. S’il décède ce sera son héritier qui devra gérer le licenciement.

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      • Le 9 novembre 2023 à 06:34

        Bonjour
        Étant concernée par cette question, qu’entend t on par
        Pouvoir

        Avez vous un texte de référence ?

        Je vous remercie
        Sylvie C.

        Répondre à ce message

        • Le 10 novembre 2023 à 11:29

          Nous n’avons pas de texte de référence. Le pouvoir est une mesure de bon sens qui permet le respect de la procédure en lieu et place de l’employeur dont les facultés mentales ou corporelles sont altérées.

          Répondre à ce message

  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 18 août 2021 à 16:56

    Bonjour,
    Mon père vient de décéder et employait une personne à domicile. Elle a déjà retrouver du travail et ne demandera pas les indemnités chômage.
    Dois je quand même lui remettre une attestation pôle emploi ?
    Merci

    Répondre à ce message

    • Le 19 août 2021 à 10:50

      L’attestation est obligatoire et peut être utile si le nouvel emploi ne devait pas durer. Je vous conseille de la fournir.

      Répondre à ce message

      • Le 19 août 2021 à 13:00

        Je vous remercie pour votre réponse rapide, mais j’ai une autre question
        Dans le cas du décès de l’employeur, puis je déclarer le dernier salaire, le préavis et l’indemnité de licenciement en une seule fois au CESU ?
        Merci d’avance

        Répondre à ce message

        • Le 19 août 2021 à 18:13

          Oui, le salaire et le préavis sont du salaire, l’indemnité de licenciement est prévue en cliquant sur Complément de salaire, vous choisissez cet item.

          Répondre à ce message

          • Le 24 août 2021 à 17:35

            Bonjour,
            j’ai encore une question à vous poser.
            J’ai fait le calcul du solde de tout compte de l’employée de mon père. J’arrive à une somme conséquente.
            Puis je demander à la salariée d’attendre la succession pour la payer ?
            Y a t’il une limite de temps à na pas dépasser ?
            Cordialement

            Répondre à ce message

            • Le 24 août 2021 à 18:51

              Les sommes sont payables à l’issue du préavis. vous pouvez toujours lui demander le délai « raisonnable » pour le règlement.

              Répondre à ce message

            • Le 16 janvier 2022 à 23:33

              Bonjour. Je suis auxiliaire de vie chez une personne qui viens de décéder. Je suis employé par une société de prestataire (solutia). Comme il n’ont pas d’autre heures à me proposer ai je droit au chômage en attendant pour compléter mon salaire tout en sachant que j’ai quand même une autre personne dont je m’occupe pour cette même sociétés. Cela me fait une baisse de salaire bien évidant. Merci

              Répondre à ce message

              • Le 17 janvier 2022 à 17:52

                L’indemnisation suppose la rupture du contrat de travail ou, dans certains cas, de démission considérée comme légitime.
                L’indemnisation aurait été possible en cas d’employeurs multiples.
                Vous ne remplissez aucune de ces conditions.
                Vous seriez en droit de refuser la modification de votre contrat en raison de la réduction de vos heures, ce qui aurait entrainé un licenciement pour motif économique et l’ouverture du droit à chômage indemnisé.

                Répondre à ce message

          • Le 22 septembre 2022 à 18:34

            Ma mère est partie en Ehpad
            Son employée de maison a travaillé 20 ans à 6h par mois Quelle sera son indemnité de licenciement ?

            Répondre à ce message

            • Le 22 septembre 2022 à 18:52

              Le point 5 ci-dessus vous indique le mode de calcul soit 2,5 mois de salaire plus 3,33 pour les 10 années supplémentaires soit 5,83 mois de salaire.

              Répondre à ce message

              • Le 19 octobre 2023 à 14:16

                bONJOUR

                JE VAIS PARTIR EN RETRAITE L AN PROCHAIN

                J EMPLOIE UNE FEMME DE MENAGE A RAISON DE 4 HEURES PAR SEMAINE

                COMPTE TENU DE LA BAISSE PRevisible de mes revenus je n aurais plus les moyens d utiliser ses services lesquels ne me seront de surcroit plus nécessaires

                est ce un motif valable de licenciement " économique ?"

                je vous remercie

                Répondre à ce message

            • Le 23 septembre 2022 à 19:31

              ma belle mère est entrée en EHPAD, Son aide ménagère qui effectuait 2h par semaine depuis mars 2018 est passée à 5h en mars 2022 suite à hospitalisation avant départ en EHPAD, elle veut désormais faire 2h30 le lundi et autant le mercredi mais je ne puis payer avec CESU des demi-heures. Que dois-je faire ?
              Merci de bien vouloir me répondre.

              Répondre à ce message

            • Le 25 septembre 2022 à 10:02

              Mon employeur vient de décéder je faisais le ménage chez lui , il était sous tutelle. Je suis aussi Retraitee. Ai-je droit aux indemnités consécutives à mon licenciement et combien. J’étais payée au smig

              Répondre à ce message

              • Le 25 septembre 2022 à 14:41

                Vous avez droit aux indemnités de licenciement comme indiqué au point 5 ci-dessus. Attention ce n’est pas la tutelle qui est responsable mais les héritiers.

                Répondre à ce message

  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 8 septembre 2023 à 20:52

    Ma maman qui employait à tour de rôle 3 personnes pour l’aider à la maison, a été hospitalisée et va partir dans un avenir très proche en maison de retraite sans revenir à la maison.

    Questions :
    Puis je déjà envoyer le courrier de licenciement ou bien faut-il que j’attende son arrivée en maison de retraite ?

    Faut il quand même verser des indemnités compensatrices de préavis puisque c’est un cas de force majeure ?

    Merci de vos réponses.

    Cdt.

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    • Le 9 septembre 2023 à 10:35

      Selon l’interprétation de la jurisprudence, l’hospitalisation ou l’entrée en EHPAD (ni même le décès) ne constituent pas une force majeure. Le préavis est dû. Vous pouvez envoyer la lettre de licenciement dès à présent.

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  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 28 août 2023 à 20:16

    Mon mari est décédé en juin.Nous employions une femme de ménage 4 heures par semaine depuis environ 6 ans.Il n’y a eu aucun rupture de contrat et je continue de l’employer le même nombre d’heures et dans les mêmes conditions.Je ne comprends pas la clause d’indemnités de licenciement.Pouvez-vous m’aider ?

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    • Le 29 août 2023 à 18:44

      Le principe est le versement d’une indemnité est due que dans le cas de la rupture du contrat de travail
      Votre mari était sans doute signataire du contrat de travail. La salariée pourrait se prévaloir de la disparation de l’employeur. Ce qui entrainerait son licenciement et le paiement de l’indemnité de licenciement
      Cependant, si les tâches effectuées sont inchangées, il s’agit d’une reprise d’activités et la rupture du contrat ne se justifie pas et donc il n’y a pas lieu à indemnité de licenciement. La situation peut être régularisée par la signature d’un avenant. L’ancienneté des 6 années resterait acquise à la salariée.

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  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 21 août 2023 à 10:45

    Un contrat en CDI depuis + de 10 ans
    Au nom de Monsieur
    Il vient a dcd
    Comment se passe la procédure sachant que son épouse est activé mais certainement moins heures
    De 15/semaine je passerais à
    3 h / semaine
    Comment se passe la clôture du CDI
    Ai je droit a une indemnité et préavis " fin de contrat au DC de son mari " ??
    Merci

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    • Le 21 août 2023 à 16:58

      Le passage à 3h par semaine est une modification d’une clause essentielle de votre contrat de travail. Vous pourrez refuser et votre licenciement sera économique. Vous avez droit au préavis et à l’indemnité de licenciement. La procédure est indiquée au point 3 en cas de décès.

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  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 1er août 2023 à 14:05

    Bonjour ma mère a employé une femme de ménage et la licencie pour cause d’entrée en ehpad. Toute la procédure de licenciement a bien été respectée. Par contre sa femme de ménage conteste le calcul des indemnités de licenciement. Elle a travaillé 2 h par semaine pendant 17 ans paiement Cesu. Puis elle est passée en Cdi avec 5h par semaine pendant 2,5 ans. Comme la carrière n’a pas été linéaire, comment devons-nous calculer pourque personne ne soit lésé ? Merci

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    • Le 2 août 2023 à 17:49

      L’alinéa 5 de l’article L. 3123-5 du Code du travail précise que pour les salariés ayant été occupés à temps complet et à temps partiel, l’indemnité est calculée proportionnellement aux périodes d’emploi accomplies selon l’une ou l’autre de ces modalités. Cependant, la documentation ou la jurisprudence n’indiquent pas le mode de calcul lorsque le travailleur en contrat à temps partiel modifie les horaires de travail. Par conséquent, je pense qu’il faut s’en tenir à la règle du salaire de référence des 3 ou des 12 derniers mois, selon le cas le plus favorable, précédant le licenciement.

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  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 8 juillet 2023 à 10:53

    Bonjour mon employeur particulier a décidé de rompre les contrats qui nous lie . Il m’a envoyé un recommandé sans respecter la procédure (entretien préalble, motif de rupture non spécifié sur le courrier , date de fin de préavis erronée......) mais j’ai une question qui me taraude . j’aurais 60 ans à la fin de mon préavis donc ma question est : en dehors des indemnités légales ai-je droit à des indemnités complémentaires en rapport à mon âge ?
    merci beaucoup de votre réponse
    cordialement
    valérie Flamant

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    • Le 8 juillet 2023 à 11:47

      Non, pas d’indemnité supplémentaire en raison de l’âge. La durée d’indemnisation du chômage est de 36 mois et peut être prolongée sous certaines conditions si vous n’avez pas tous vos trimestres.

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      • Le 10 juillet 2023 à 19:12

        Bonjour merci de votre réponse . Ai-je droit ou pas à un licenciement économique ??

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  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 15 avril 2023 à 10:25

    Bonjour
    peut on payer une indemnité de licenciement avec des chèques Cesu ? Comme il y a un mois de décalage il m en reste.
    L établissement de ma maman passe en ephad et il me reste des chèques Cesu.
    merci de votre réponse.

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    • Le 16 avril 2023 à 10:22

      Le chèque CESU est un moyen de paiement comme un autre. Seul réserve, c’est le contrôle par le conseil départemental de l’utilisation de ces chèques. Le seul risque est qu’il vous en demande le remboursement.

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  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 3 avril 2023 à 20:34

    Je m occupe de rompre un CDI avec l auxiliaire de vie de mon père qui est en epadh depuis peu.
    Cette dernière est par ailleurs en arrêt pour accident du travail depuis 9 mois.
    Qui doit payer son mois de préavis qui se déroule durant ce congé pour accident du travail ?
    On nous a dit que c était la CPAM qui payerait ce mois
    Merci de me le confirmer car je dois préparer son solde de tous comptes.

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    • Le 4 avril 2023 à 09:46

      Pendant la période correspondant à l’arrêt pour accident du travail (AT) ,l’employeur ne peut licencier le salarié sauf faute grave ou lourde, ou impossibilité de maintenir le contrat de travail pour un motif non lié à l’accident ou à la maladie. La raison du licenciement ne repose pas sur l’AT mais sur une raison économique. Vous devez exposer, dans la lettre de licenciement, les motifs qui rendent impossible le maintien du contrat de travail (entrée en EHPAD). En conséquence, la prise en charge par la CPAM d’un mois d’indemnisation est réservé au licenciement pour inaptitude d’origine professionnelle. Cette indemnisation est indépendante du paiement du préavis.
      Vous devez donc une indemnité de préavis en fonction de l’ancienneté du salarié comme indiqué au point 4..

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  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 29 mars 2023 à 13:24

    Bonjour,

    Ma maman rentre en EHPAD aujourd’hui. Au mois de janvier une employée m’annonçait qu’elle arrêtait de travailler dès que je l’aurais remplacé. J’ai prévenu mon autre salariée
    qui m’a même aidé à chercher une remplaçante. Ne trouvant personne j’ai du me résoudre de mettre maman en maison de retraite Ehpad. J’ai monté un dossier mes salariées étaient au courant mais je ne pouvais leur faire de lettre de licenciement vue que je ne connaissais pas la date d’entrée. J’ai été prévenu une semaine avant son entrée qu’il y avait une place, j’ai immédiatement prévenu mes salariées verbalement. Je leur dois 2 mois de préavis que je vais leur régler mais qu’elles ne vont pas effectuer qui va aller du
    30/03/20323 au 29/05/2023. Dois je leur remettre les documents maintenant ou a la fin du préavis vu qu’elles ne l’effectuent pas ? Ai*je des risques de ne pas avoir fait de lettre de licenciement ? Merci pour votre réponse
    Cordialement
    Mme NOILHAN

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  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 16 mars 2023 à 20:29

    En cdi en cesu , j ai un employeur qui est décédé, pour interrompre mon contrat, est il obligatoire de recevoir une lettre de licenciement

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    • Le 17 mars 2023 à 09:53

      Oui, la lettre est nécessaire pour une inscription à Pôle emploi. La lettre peut être envoyée soit par les héritiers soit par le notaire. Dans ce dernier cas, il faut insisté pour l’avoir.

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  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 21 février 2023 à 09:35

    Bonjour
    Mon particulier employeur est décédé le 9 février 2023 je travaillais pour lui depuis le 18 janvier 2023 qu elles sont les indemnités que je peux avoir.merci

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  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 14 février 2023 à 16:19

    Bonjour mon particulier employeur a ete placé en ehpad le 30 janvier 2023 . J ai signé la lettre de convocation pour un licenciement le 25janvier 2023 .j etais en accident de travail du 25 novembre au 6 fevrier 2023 . Comment se passe le preavis qui est de 1 mois avec 2 ans d ancienneté ? Est ce qUe le particulier employeur doit me verser le restant de mon salaire du 6 au 28 février ? Merci de bien vouloir me repondre
    Nathalie chateau .

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    • Le 15 février 2023 à 09:58

      Le préavis est suspendu pendant toute la durée de l’arrêt de travail. Il ne recommence à courir qu’au retour du salarié dans l’entreprise. Donc, l’employeur vous doit un mois de salaire à compter du 6 février.

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  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 6 février 2023 à 18:41

    Bonjour,
    Entré en EHPAD le 12 décembre 2022,
    j’employais une auxiliaire de vie (qui est retraitée ) 10h par mois et déclarée à
    l’Urssaf depuis plus de 3 ans, suis -je toujours dans les délais pour lui notifier son licenciement ? Quelle date dois je mettre sur sa lettre de licenciement ?
    Comment fonctionne le préavis du fait que je ne savais pas que il fallait licencier l auxiliaire de vie.
    Merci pour votre réponse

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    • Le 7 février 2023 à 09:42

      En effet, la procédure de licenciement pour mettre un terme au contrat de travail,telle que décrite dans cette fiche s’impose avec les indemnités y afférent. Le préavis même non effectué doit être payé.

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  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 12 janvier 2023 à 20:11

    Bonjour, Ma mère âgée qui emploie un jardinier est à l’hôpital depuis 1 mois, suite à une chute. Son jardinier a continué le travail pendant cette période. Désormais, l’hôpital estime que l’Ephad est la seule solution permanente pour ma mère, et elle doit rejoindre un établissement à 120 km de son ancien lieu de résidence. Il faut que je (elle) licencie le jardinier et vende la maison : Ma mère a le temps de rencontrer le jardinier pour la remise en main propres de la convocation à l’entretien préalable avant son transfert vers l’ephad, si le jardinier vient à l’hôpital. Par contre, compte tenu du délai de 5 jours, cette réunion se tiendrait à 120 km de distance, dans sa nouvelle résidence... ce qui est problématique je pense pour le jardinier.
    Est-ce possible et légal ? Quelle seraient les alternatives ?
    En vous remerciant pour votre aide et votre temps.

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    • Le 13 janvier 2023 à 10:32

      La Cour de cassation s’est prononcée sur l’irrégularité de l’entretien tenu par téléphone, elle ne s’est jamais prononcée sur la validité de l’entretien tenue en visioconférence. En revanche, les juges du fond s’y montrent plutôt favorables quand des circonstances particulières le justifient ou avec l’accord exprès du salarié (CA Grenoble, 7 janv. 2020, no 17/02442)

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      • Le 13 janvier 2023 à 15:34

        Bonjour, merci de votre réponse.
        L’ephad est-il alors considéré comme le domicile ? Demander au jardinier de faire 120 km pour venir au nouveau domicile est-il acceptable pour un entretien de licenciement (qui est un licenciement économique, et donc pour lequel le pauvre n’y est pour rien...?)
        En vous remerciant de vos précisions.
        Cdt OT

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        • Le 13 janvier 2023 à 17:17

          Si l’intéressé accepte de venir à l’Ehpad qui peut être considéré comme un domicile, il est improbable que la procédure soit entachée d’irrégularité.

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  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 9 janvier 2023 à 12:40

    Bonjour mon employeur chez qui je travaille à domicile est parti en epad dois je effectuer obligatoirement mon préavis alors qu’il n’est plus chez lui

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    • Le 9 janvier 2023 à 17:53

      Le préavis est payé, il devrait être respecté, sauf accord avec l’employeur. Il doit être exécuté sur le lieu habituel de travail et pour des tâches définies par le contrat de travail ou habituellement exécutées..

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  • 34 Gérer la rupture du contrat de travail de l’employé à domicile Le 27 novembre 2022 à 16:09

    Je suis employeur particulier lourdement handicapée, j’emploie une personne depuis 3 ans et 11 mois mais elle est absente pour maladie depuis 2 mois
    Comme je ne peux pas rester seule j’ai une amie qui est venue s’occuper de moi jusqu’au 30 Novembre ensuite elle a des obligations familiales. Le 1er Décembre
    je n’ai personne. J’ai donc contacté une Association pour qu’elle s’occupe de me trouver une employée de maison à temps complet 8 heures par jour. Je suis dans l’obligation de licencier celle que j’avais. Dans le motif du licenciement je ne sais pas comment indiquer le motif ?
    Faut-il lui payer un préavis ?Pouvez-vous me dire la marche à suivre ? Je vous remercie beaucoup. Gabrielle DELETTRE.

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    • Le 27 novembre 2022 à 18:31

      L’employeur ne peut licencier un salarié en raison de son état de santé. Autrement dit, un licenciement justifié seulement par la maladie du salarié serait nul. Cependant, il est permis de licencier un salarié en arrêt de travail pour maladie non professionnelle lorsque son absence perturbe le bon fonctionnement (de l’entreprise) au point de rendre nécessaire son remplacement définitif.
      Dans la lettre de licenciement, l’employeur doit faire état :
      – d’une part, de la perturbation dans le fonctionnement (de l’entreprise) causée par l’absence du salarié malade ; faire état de la nécessité du remplacement : votre situation de handicap qui nécessite l’intervention d’une tierce personne
      – et, d’autre part, de la nécessité de procéder au remplacement de l’intéressé.
      Un tel licenciement n’est pas disciplinaire : l’employeur ne peut prononcer un licenciement immédiat (sans préavis) et doit verser au salarié des indemnités de licenciement. Cependant, le salarié malade étant dans l’incapacité d’exécuter son préavis, aucune indemnité de préavis ne lui est due. Si l’employeur le dispense néanmoins de l’exécution du préavis, il doit lui verser une indemnité compensatrice. Ne pas oubliez de verser une indemnité compensatrice de congés payés non pris.

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